
Longueur : 510 mm +/- 5
Poids : 530 g
ø interne de la douille : 14 mm
Armement : fusil Arisaka M-30, et fusils et carabines M-38, fusil M-99
Valeur : €€€ €€€
Rareté : ![]()
![]()
![]()
![]()
![]()
![]()
Ces baïonnettes produites à partir de 1943 jusqu’à la fin de la Seconde Guerre mondiale, sont de finition médiocre. Le processus de fabrication est grandement simplifié pour des raisons économiques de coût de fabrication et de temps.


La poignée est munie d’un pommeau de forme arrondie à l’arrière et droite sur le devant, avec rainure en forme de T. Les plaquettes en bois exotique assez proéminentes maintenues entre elles par boulons à tête ronde fendue et écrous abrasés, recouvrent entièrement la soie, la croisière est dépourvue de crochet brise-lame.

Boulets empilés (Kokura Arsenal marque) et « M » avec une flèche à travers, actuellement Panasonic fabrication d’appareils électriques
La lame légèrement bronzée est plate, sans gouttière pour une rapidité de fabrication, son profil reste inchangé.
Beaucoup de celles-ci utilisées dans les différents combats du pacifique peuvent être légèrement affûtées à leurs extrémités.
Le 16/08/25
Baionnette M-1897 type 30 fabrication de crise « N 836 »
novembre 24th, 2021

Longueur : 510 mm +/- 5
Poids : 515 g
ø interne de la douille : 14 mm
Armement : fusil Arisaka M-30, et fusils et carabines M-38, fusil M-99
Valeur : €€€ €€€
Rareté : ![]()
![]()
![]()
![]()
![]()
![]()
Ces baïonnettes produites à partir de 1943 jusqu’à la fin de la Seconde Guerre mondiale, sont de finition médiocre. Le processus de fabrication est grandement simplifié pour des raisons économiques de coût de fabrication et de temps.


La poignée est munie d’un pommeau de forme arrondie à l’arrière et droite sur le devant, avec rainure en forme de T. Les plaquettes en bois exotique, de fabrication simplifiée maintenues entre elles par rivets, ne recouvrent pas la soie. La croisière est démunie de crochet brise-lame.
Matsushita kinzoku kk arsenal
La lame bronzée est plate, sans gouttière pour une rapidité de fabrication, son profil reste inchangé.
Beaucoup de celles-ci utilisées dans les différents combats du pacifique peuvent être légèrement affûtées à leurs extrémités.

Le fourreau en caoutchouc moulé produit en fin de guerre n’est que très rarement rencontré, le porte-fourreau lui aussi en caoutchouc est intégré au corps.
Pontet standard serti sur une pièce métallique intégrant la cuvette et le ressort en tôle d’acier
Embout d’extrémité est en tôle d’acier
Embout d’extrémité est en tôle d’acier
Le fourreau en bambou de cette variante produit en fin de guerre n’est que très rarement rencontré, son corps recouvert d’une peinture kaki, est renforcé par deux liens.
Le 19/08/25
Baïonnette M-1897 type 30 fabrication de crise « N 837 »
novembre 24th, 2021

Longueur : 510 mm +/- 5
Poids : 500 g
ø interne de la douille : 14 mm
Armement : fusil Arisaka M-30, et fusils et carabines M-38, fusil M-99
Valeur : €€€ €€€
Rareté : ![]()
![]()
![]()
![]()
![]()
![]()
Ces baïonnettes produites à partir de 1944 jusqu’à la fin de la Seconde Guerre mondiale, sont de finition médiocre. Le processus de fabrication est grandement simplifié pour des raisons économiques de coût de fabrication et de temps.


La poignée est munie d’un pommeau de forme droite à l’arrière et sur le devant, avec rainure en forme de T. Les plaquettes en bois exotique maintenue entre elles par rivets recouvrent le dessous de la soie. La croisière est dépourvue de crochet brise-lame.
Toyoda Jidoshoki Seisakusho (Travaux de tissage automatique Toyoda) sous la surveillance de Nagoya
La lame bronzée est plate, sans gouttière pour une rapidité de fabrication, son profil reste inchangé.
Beaucoup de celles-ci utilisées dans les différents combats du pacifique peuvent être légèrement affûtées à leurs extrémités.
Le 17/08/25
Baïonnette scolaire de type Gras « N 841 »
novembre 22nd, 2021

Longueur : 510 mm
ø interne de la douille : 17,2 mm
Armement : fusil Gras scolaire
Valeur : €€€ €€€
Rareté : ![]()
![]()
![]()
![]()
![]()
![]()
Il existe une multitude de variantes de ce modèle, ces baïonnettes accompagnées du fusil Gras de petite taille, étaient destinées à former, à partir de 1882 les bataillons scolaires au maniement des armes afin de préparer la revanche suite à la défaite de 1871.
Comparatif
N° d’arme 945 inscrit près du rivet
La poignée de cette variante, est constituée d’un pommeau en laiton qui intègre un mécanisme de verrouillage avec bouton-poussoir avec lame ressort de rappel en acier fixée par un rivet. Les plaquettes en noyer, dont une intègre également une partie de la lame ressort sont maintenues à la soie par deux rivets sur rondelles. La croisière munie d’un crochet, est fixée à la lame grâce à un rivet saillant, à noter que le diamètre interne de la douille est identique à sa grande soeur.

La lame en forme de T qui s’amincie progressivement a le même profil que sa grande soeur, destinée au maniement et à l’exercice son extrémité est arrondie afin d’éviter toutes blessures.


Le fourreau en tôle d’acier de finition bronzée de cette variante, épouse parfaitement le profil de la lame, son extrémité est terminée par une bouterolle, non percée. La cuvette avec son ressort interne est maintenue sur le corps par deux rivets, le pontet constitué d’une seule pièce enveloppe le corps.
Plusieurs types de fourreaux pour ces divers variantes existent : à pontet ou à petit bouton de suspension.
Création, organisation et fonctionnement des bataillons scolaires.
La loi du 28 mars 1882 met la gymnastique et les exercices militaires au nombre des matières d’enseignement des écoles primaires publiques de garçons.
L’existence légale des bataillons scolaires est reconnue par un décret en date du 6 juillet 1882.
Tout établissement public d’instruction primaire ou secondaire ou toute réunion d’écoles publiques comptant de deux cents à six cents élèves, âgés de douze ans et au-dessus pourra, sous le nom de bataillon scolaire, rassembler ses élèves pour les exercices militaires pendant toute la durée de leur séjour dans les établissements d’instruction…
Le bataillon scolaire ne pourra être armé que de fusils conformes à un modèle adopté par le Ministre de la Guerre… Ces fusils, devront présenter les trois conditions suivantes : n’être pas trop lourds pour l’âge des enfants ; comporter tout le mécanisme du fusil de guerre actuel ; n’être pas susceptibles de faire feu, même à courte portée. Les fusils seront déposés à l’école…
Pour les exercices du tir à la cible, les élèves des bataillons scolaires âgés de 14 ans au moins et que l’instructeur en chef aura désignés comme apte à y prendre part, seront conduits au stand ou au champ de tir et y seront exercés avec le fusil scolaire spécial…
Un arrêté du 27 Juillet 1882 précise que dans les communes où les bataillons scolaires sont constitués, les exercices de bataillon ne pourront avoir lieu que le jeudi et le dimanche, le temps à y consacrer sera déterminé par l’instructeur militaire, de concert avec le directeur de l’école. L’engouement est certain parmi la population.
L’idée de faire de l’école un centre de préparation et d’instruction militaire où les élèves apprendront le devoir, la discipline, le maniement des armes, le tir, apparaît comme une des clés du redressement national et un des moyens de préparer la revanche.
L’instructeur désigné par l’autorité militaire peut être l’instituteur qui est souvent un sous-officier ou officier de réserve.
Aux instituteurs Paul Bert leur dira, définissant ainsi leur mission : »Nous devons faire, par une éducation commencée à l’école par vous, continuée au régiment avec vous, de tout enfant un citoyen, de tout citoyen, un soldat. »
Le bataillon est organisé militairement, port de l’uniforme, du béret marin, apprentissage et utilisation du fusil, le chant patriotique est également de mise et anime les défilés. Les armes utilisées pour les exercices de manœuvre sont des carabines inertes en bois, l’exercice du tir réel est pratiqué avec des fusils tirant des cartouches de tir réduit, bien souvent ce sont les préaux qui servent de stand.
En 1886, année où on enregistre les effectifs les plus élevés, 146 bataillons sont constitués ; 49 départements sur 87 ont un ou plusieurs bataillons ; 43 326 élèves sont incorporés dans ceux-ci.
Avis personnel sur l’attrait de ce modèle :
Il existe plusieurs variantes du modèle de type Gras scolaire, celle-ci clone du modèle 1874, est particulièrement bien réussie.
Le 17/03/21.
Baïonnette M-1897 type 30, à crochet « N 849 »
novembre 22nd, 2021

Longueur : 510 mm +/- 5
Poids : 485 g
ø interne de la douille : 14 mm
Armement : fusil Shanxi 6-5
Valeur : €€€ €€
Rareté : ![]()
![]()
![]()
![]()
![]()
Cette baïonnette produite à partir de 1897 jusqu’en 1937 a été remise à neuf entre 1929 et 1934 à l’Arsenal du Shanxi, en Chine. Ces baïonnettes, uniquement avec crochets ont été utilisées avec le fusil d’infanterie Shanxi 6-5, une copie fidèle du fusil japonais Arisaka type 38. Environ 100 000 fusils d’infanterie du Shanxi ont été fabriqués, certains accompagnés de baïonnettes chinoises neuves dépourvues de tous marquages.


La poignée comme le reste de la baïonnette est entièrement bronzée, les plaquettes neuves en bois exotique sont maintenues entre elles par boulons à tête arrondie et écrous.
Nagoya Rikugun Zoheisho Arsenal
Créé en 1923, l’Arsenal de Nagoya s’est occupé de la recherche, du développement et de la production de nombreuses nouvelles armes au cours des années 1920 et 1930 et a été, avec Kokura Arsenal, l’un des principaux fournisseurs d’armes légères de l’armée impériale japonaise pendant la Seconde Guerre sino-japonaise et la Seconde Guerre mondiale. L’arsenal se composait d’usines à Atsuta, Kōzō, Toriimatsu et Tachikawa et d’un bâtiment administratif à Takarai (aujourd’hui Kasugai).
Après la défaite du Japon et l’occupation américaine en 1945, l’Arsenal de Nagoya fut fermé. Aujourd’hui, le centre commercial ÆON Mall Atsuta occupe l’ancien Arsenal de Kōzō, tandis que le gymnase municipal de Nagoya et le parc Jingu Higashi occupent l’ancien Arsenal d’Atsuta.
Avis personnel sur l’attrait de ce modèle :
Cette variante peu courante, a la particularité d’être généralement en très bon état.
Le 09/08/25
Baïonnette M-1897 type 30 à crochet « N 849 »
novembre 22nd, 2021

Longueur : 510 mm +/- 5
ø interne de la douille : 14 mm
Armement : fusil Arisaka M-30, et fusils et carabines M-38
Valeur : €€€ €€
Rareté : ![]()
![]()
![]()
![]()
![]()
En 1897, l’armée impériale japonaise a choisi d’équiper ses troupes avec le type 30-fusil / baïonnette. Ceux-ci étaient une invention du colonel Nariaka Arisaka. Le nombre « 30 » fait référence à la 30e année du règne de l’empereur Mejing, étant 1897.
A partir de 1897, les fusils Type 30 (1897),Type 38 (1905), et Type 99 (1940) ont été équipés d’un nouveau modèle de baïonnette (dont les Britanniques s’inspireront pour leurs M-1907), à lame plus longue, (capable de transpercer un cavalier), que celle du Murata 22. Ces baïonnettes seront produites à plus de 8,4 millions d’unités, de 1897 jusqu’en 1945. Vers la fin de la Seconde Guerre mondiale, son mode de fabrication évoluera vers une simplification et une dégradation de la qualité (cotes approximatives des plaquettes, rupture au pliage de la lame, usinage simplifié de la poignée et de la lame, suppression du crochet, etc…), cela pour un gain de temps et de coût.
Ces baïonnettes produites à partir de 1897 jusqu’en 1937, avec crochets conçus pour attraper et briser la baïonnette d’un adversaire dans un combat au corps-à-corps, sont les premières de la série et les plus courantes. Il est à noter que le crochet a longtemps été conservé du mode de fabrication alors que beaucoup d’autres pays l’avait supprimé après la Première Guerre mondiale.
Une variante de ce modèle re-conditionnée en Chine existe Baïonnette M-1897, type 30 à crochet.

La bague est très fragile, sa conception restera inchangée jusqu’en 1945
Photo faite au musée de l’armée aux Invalides à Paris (si vous avez l’occasion d’y aller, n’hésitez pas, cela vaut le détour !)
La poignée est munie d’un pommeau de forme arrondie à l’arrière et oblique sur le devant, avec rainure en forme de T. Les plaquettes en bois exotique, ne recouvrent pas la soie de forme trapézoïdale, elles sont fixées par boulons à tête arondie et écrous logés dans des cuvettes elliptiques. La croisière est pourvue d’un crochet brise-lame, une autre version de ce modèle dépourvue de crochet existe, on la rencontre très rarement.

L’écrou est bloqué mécaniquement sur le verrou par un coup de pointeau
Toutes les baïonnettes fabriquées de 1897 à 1945 comportent à l’arrière du pommeau un n° de matricule, ainsi que deux poinçons de réception.
Pour cette variante deux types de gouttières existent : à extrémités rondes ou carrées
La lame de bonne qualité, toujours avec gouttière sur chaque face est généralement de finition polie blanc, rarement bronzée, sa largeur, son épaisseur peut varier suivant les constructeurs.
Beaucoup de celles-ci utilisées dans les différents combats du pacifique peuvent être légèrement affûtées à leurs extrémités.
Aisan Kogyo Arsenal
Tokyo Hohel Kosho Arsenal
Différents types de marquages
Différents types de pontets
Evolution de l’extrémité du fourreau : la bouterolle a disparu pour les derniers modèles en tôle d’acier fabriqués
Ressort de forme trapézoïdale
Les fourreaux en acier sont les plus couramment rencontrés, le pontet dont il existe quatre variantes est serti sur le corps. Après sa mise en place une vis le traversant sur l’arrière sert de point de fixation à la cuvette intégrant le ressort de maintien de la lame.



Les porte-fourreaux en cuir utilisés avec ces modèles de baïonnettes se rencontrent que très rarement, comme pour les fourreaux français, iraniens, suisses, munis d’un pontet, ils sont dotés d’une lanière de maintien avec boucle métallique de verrouillage.
Période d’utilisation :
Elles furent les seules baïonnettes de la série à être utilisées lors de la Guerre Russo-Japonaise de 1904-1905 et lors des deux conflits mondiaux de 1914-1918 et de 1931-1945.
Le 12/08/25
Baïonnette M-1897 type 30 à pommeau droit et crochet « N 854 »
novembre 22nd, 2021

Longueur : 510 mm +/- 5
Poids : 450 g
ø interne de la douille : 14 mm
Armement : fusil Arisaka M-30, et fusils et carabines M-38
Valeur : €€€ €€
Rareté : ![]()
![]()
![]()
![]()
![]()
![]()
Ces baïonnettes, généralement de fabrication soignée ont été produites à partir de 1937 jusqu’en 1943, la forme du pommeau est différente des tous premiers modèles de la série, ceci afin de simplifier le processus de fabrication.

La poignée est munie d’un pommeau de forme arrondie à l’arrière et droite sur le devant, avec rainure en forme de T. Les plaquettes en bois exotique fixées entre elles par rivets, recouvrent uniquement le dessous de la soie, la croisière est pourvue d’un crochet brise-lame.
Le bouton arrondi, comme un boulon se visse sur le verrou
La tige du boulon est bloqué mécaniquement sur le verrou par un coup de pointeau
La lame de bonne qualité, avec gouttière sur chaque face peut être polie blanc pour les premiers modèles ou bronzée par la suite.
Beaucoup de celles-ci utilisées dans les différents combats du pacifique peuvent être légèrement affûtées à leurs extrémités.
Le fourreau : Voir Baïonnette M-1897 type 30 à crochet

Le porte-fourreau de cette variante a été conçu sur le terrain.
Le 13/08/25
Baïonnette modèle 24-30 « N 872 »
novembre 22nd, 2021

Longueur : 515 mm
ø interne de la douille : 15,5 mm
Poids : 470 g
Armement : fusil et carabine M-24, (24-30)
Entre les deux Guerres mondiales, l’Allemagne n’ayant plus le droit de produire d’armement, la FN belge de Herstal produit pour l’exportation pour plus de trente pays, une famille de fusils et carabines de type Mauser 98. Ces armes furent exportées notamment en Amérique Du Sud, au Congo Belge, en Arabie, Estonie, Lettonie, Pays-Bas, etc …). Pour ces armes deux variantes de baïonnettes ont été conçues, une à lame courte en théorie pour les fusils et une à lame longue pour les carabines.
A l’arrière plan, baïonnettes M-1924 longues utilisées par les troupes locales
La majorité des modèles à lames longues ont été exportés au Venezuela, d’autres utilisés au Congo par les troupes locales lors de l’occupation belge. Il existe un M-1924 yougoslave beaucoup moins courant, pratiquement identique à ceux-ci, fabriqué à partir de 1928, à ne surtout pas confondre.

La poignée est munie d’un pommeau oblique qui comporte une rainure en forme de trèfle, sa conception lui permet de s’adapter à toutes les armes de type Mauser 98. Les plaquettes sont maintenues entre elles par vis à tête ronde dentée et écrous fendus.

Généralement un n° de série qui correspond au matricule de l’arme est inscrit sur le talon du pommeau.

La lame avec gouttière sur chaque face, de finition polie brillant ou bronzée, de bonne qualité, est dépourvue de marquage.
Le bouton de suspension comporte quatre stries comme le fourreau allemand M-1884-98 (2ème type
Particularité, le côté supérieur de la cuvette est plat, afin de permettre le tir avec le fourreau sur la baïonnette fixée au fusil
Le fourreau de finition bronzée, est muni d’une cuvette avec ressort interne maintenue au corps par une vis centrale, la lame rentre à l’intérieur que dans un sens.

Ce porte-fourreau en cuir est souvent associé aux fourreaux des baïonnettes belges M-24/30 destinées à l’export.
Avis personnel sur l’attrait de ce modèle :
Beaucoup de ces modèles encore assez courants sont généralement en très bon état et à des prix relativement peu élevés, idéals pour débuter une collection.
Le 29/02/24.
Baïonnette modèle 1924/49 « N 872 »
novembre 22nd, 2021
Longueur : 515 mm
ø interne de la douille : 18 mm
Poids : 470 g
Armement : fusil SAFN M-49
La première production sous contrat du fusil SAFN 1949 a été livrée au Venezuela le 31 mai 1949, composée de 2 000 fusils de calibre (7 mm x 57 Mauser) et 2 000 fusils supplémentaire livrés le 31 juillet 1949. Le contrat vénézuélien aurait été de 8 012 fusils au total.
Valeur : €€€
Rareté : ![]()
![]()
![]()
![]()
![]()
Voir Baïonnette modèle 24/30.
Le matricule se situe entre 1 et 8000
Diamètre interne de 18 mm
A cette époque il n’y avait pas de baïonnettes courtes de disponibles pour cette arme. Des baïonnettes (M-24/30) longues fabriquées à la FN belge, avec bague alésée à 18 mm ont donc été fournies pour équiper ces armes.
Le 14/06/21.
Baïonnette modèle 24-30 « N 872 »
novembre 22nd, 2021

Longueur : 515 mm
ø interne de la douille : 15,5 mm
Poids : 470 g

Armement : fusil M-24/30
Entre 1936 et 1940, la FN a expédié un total de 30 000 fusils modèle 1930 au Venezuela. En 1948, 10 000 fusils supplémentaires équipés de munitions Spitzer furent commandés.
Ce modèle long a été utilisé avec les fusils et carabines FN 1930 belges. Voir Baïonnette M-24/30 (longue).
Le 27/02/24.

