Baïonnette M-1897 type 30 fabrication de crise « N 837 »

août 17th, 2025

Longueur : 510 mm +/- 5
Poids : 500 g
ø interne de la douille : 14 mm

Armement : fusil Arisaka M-30, et fusils et carabines M-38, fusil M-99

Valeur : €€€ €€€
Rareté : che1valierche1valierche1valierche1valierche1valierche1valier

Ces baïonnettes produites à partir de 1944 jusqu’à la fin de la Seconde Guerre mondiale, sont de finition médiocre. Le processus de fabrication est grandement simplifié pour des raisons économiques de coût de fabrication et de temps. 

La poignée est munie d’un pommeau de forme droite à l’arrière et sur le devant, avec rainure en forme de T. Les plaquettes en bois exotique maintenue entre elles par rivets recouvrent le dessous de la soie. La croisière est dépourvue de crochet brise-lame.

Toyoda Jidoshoki Seisakusho (Travaux de tissage automatique Toyoda) sous la surveillance de Nagoya

La lame bronzée est plate, sans gouttière pour une rapidité de fabrication, son profil reste inchangé.

Beaucoup de celles-ci utilisées dans les différents combats du pacifique peuvent être légèrement affûtées à leurs extrémités.

Le 17/08/25

Baïonnette M-1897 type 30 à pommeau droit sans crochet

août 14th, 2025

Longueur : 510 mm +/- 5
Poids : 530 g
ø interne de la douille : 14 mm

Armement : fusil Arisaka M-30, et fusils et carabines M-38, fusil M-99

Valeur : €€€ €€€
Rareté : che1valierche1valierche1valierche1valierche1valierche1valier

Ces baïonnettes produites à partir de 1943 jusqu’à la fin de la Seconde Guerre mondiale, sont de finition médiocre. Le processus de fabrication est grandement simplifié pour des raisons économiques de coût de fabrication et de temps. 

La poignée est munie d’un pommeau de forme arrondie à l’arrière et droite sur le devant, avec rainure en forme de T. Les plaquettes en bois exotique assez proéminentes maintenues entre elles par boulons à tête ronde fendue et écrous abrasés, recouvrent entièrement la soie, la croisière est dépourvue de crochet brise-lame.

Boulets empilés (Kokura Arsenal marque) et « M » avec une flèche à travers, actuellement Panasonic fabrication d’appareils électriques

La lame légèrement bronzée est plate, sans gouttière pour une rapidité de fabrication, son profil reste inchangé.

Beaucoup de celles-ci utilisées dans les différents combats du pacifique peuvent être légèrement affûtées à leurs extrémités.

Le 16/08/25

Baïonnette M-1897 type 30 à pommeau droit sans crochet « N 834 »

août 13th, 2025

Longueur : 510 mm +/- 5
Poids : 450 g
ø interne de la douille : 14 mm

Armement : fusil Arisaka M-30, et fusils et carabines M-38, fusil M-99

Valeur : €€€ €€
Rareté : che1valierche1valierche1valierche1valierche1valierche1valier

Ces baïonnettes produites à partir de 1943 jusqu’à la fin de la Seconde Guerre mondiale, sont généralement de finition médiocre. Le processus de fabrication est grandement simplifié pour des raisons économiques de coût de fabrication et de temps. Toutes les parties métalliques de cette variante étaient recouvertes de peinture noire. 

La poignée est munie d’un pommeau de forme arrondie à l’arrière et droite sur le devant, avec rainure en forme de T. Les plaquettes en bois exotique maintenues entre elles par rivets, recouvrent uniquement le dessous de la soie, la croisière est dépourvue de crochet brise-lame.

La lame avec gouttière sur chaque face peut être polie blanc, bronzée ou peinte.

Beaucoup de celles-ci utilisées dans les différents combats du pacifique peuvent être légèrement affûtées à leurs extrémités.

Le 14/08/25

Baïonnette M-1897 Arisaka type 30 à pommeau droit et crochet « N 854 »

août 11th, 2025

Longueur : 510 mm +/- 5
Poids : 450 g
ø interne de la douille : 14 mm

Armement : fusil Arisaka M-30, et fusils et carabines M-38

Valeur : €€€ €€
Rareté : che1valierche1valierche1valierche1valierche1valierche1valier

Ces baïonnettes, généralement de fabrication soignée ont été produites à partir de 1937 jusqu’en 1943, la forme du pommeau est différente des tous premiers modèles de la série, ceci afin de simplifier le processus de fabrication.

La poignée est munie d’un pommeau de forme arrondie à l’arrière et droite sur le devant, avec rainure en forme de T. Les plaquettes en bois exotique fixées entre elles par rivets, recouvrent uniquement le dessous de la soie, la croisière est pourvue d’un crochet brise-lame.

Le bouton arrondi, comme un boulon se visse sur le verrouLa tige du boulon est bloqué mécaniquement sur le verrou par un coup de pointeau

La lame de bonne qualité, avec gouttière sur chaque face peut être polie blanc pour les premiers modèles ou bronzée par la suite.

Beaucoup de celles-ci utilisées dans les différents combats du pacifique peuvent être légèrement affûtées à leurs extrémités.

Le fourreau : Voir Baïonnette M-1897 type 30 à crochet

Le porte-fourreau de cette variante a été conçu sur le terrain.

Le 13/08/25

Baïonnette M-1897 Arisaka type 30 à crochet « N 849 »

août 11th, 2025

Longueur : 510 mm +/- 5
ø interne de la douille : 14 mm

Armement : fusil Arisaka M-30, et fusils et carabines M-38

Valeur : €€€ €€
Rareté : che1valierche1valierche1valierche1valierche1valier

En 1897, l’armée impériale japonaise a choisi d’équiper ses troupes avec le type 30-fusil / baïonnette. Ceux-ci étaient une invention du colonel Nariaka Arisaka. Le nombre « 30 » fait référence à la 30e année du règne de l’empereur Mejing, étant 1897.

A partir de 1897, les fusils Type 30 (1897),Type 38 (1905), et Type 99 (1940) ont été équipés d’un nouveau modèle de baïonnette (dont les Britanniques s’inspireront pour leurs M-1907), à lame plus longue, (capable de transpercer un cavalier), que celle du Murata 22. Ces baïonnettes seront produites à plus de 8,4 millions d’unités, de 1897 jusqu’en 1945. Vers la fin de la Seconde Guerre mondiale, son mode de fabrication évoluera vers une simplification et une dégradation de la qualité (cotes approximatives des plaquettes, rupture au pliage de la lame, usinage simplifié de la poignée et de la lame, suppression du crochet, etc…), cela pour un gain de temps et de coût.

Ces baïonnettes produites à partir de 1897 jusqu’en 1937, avec crochets conçus pour attraper et briser la baïonnette d’un adversaire dans un combat au corps-à-corps, sont les premières de la série et les plus courantes. Il est à noter que le crochet a longtemps été conservé du mode de fabrication alors que beaucoup d’autres pays l’avait supprimé après la Première Guerre mondiale.

Une variante de ce modèle re-conditionnée en Chine existe Baïonnette M-1897, type 30 à crochet.

La bague est très fragile, sa conception restera inchangée jusqu’en 1945japon arizaka invalidesPhoto faite au musée de l’armée aux Invalides à Paris (si vous avez l’occasion d’y aller, n’hésitez pas, cela vaut le détour !)

La poignée est munie d’un pommeau de forme arrondie à l’arrière et oblique sur le devant, avec rainure en forme de T. Les plaquettes en bois exotique, ne recouvrent pas la soie de forme trapézoïdale, elles sont fixées par boulons à tête arondie et écrous logés dans des cuvettes elliptiques. La croisière est pourvue d’un crochet brise-lame, une autre version de ce modèle dépourvue de crochet existe, on la rencontre très rarement.

L’écrou est bloqué mécaniquement sur le verrou par un coup de pointeau

Toutes les baïonnettes fabriquées de 1897 à 1945 comportent à l’arrière du pommeau un n° de matricule, ainsi que deux poinçons de réception.

Pour cette variante deux types de gouttières existent : à extrémités rondes ou carrées 

La lame de bonne qualité, toujours avec gouttière sur chaque face est généralement de finition polie blanc, rarement bronzée, sa largeur, son épaisseur peut varier suivant les constructeurs.

Beaucoup de celles-ci utilisées dans les différents combats du pacifique peuvent être légèrement affûtées à leurs extrémités.

Aisan Kogyo ArsenalTokyo Hohel Kosho Arsenal

Différents types de marquages

Différents types de pontetsEvolution de l’extrémité du fourreau : la bouterolle a disparu pour les derniers modèles en tôle d’acier fabriquésRessort de forme trapézoïdale

Les fourreaux en acier sont les plus couramment rencontrés, le pontet dont il existe quatre variantes est serti sur le corps. Après sa mise en place une vis le traversant sur l’arrière sert de point de fixation à la cuvette intégrant le ressort de maintien de la lame.

Les porte-fourreaux en cuir utilisés avec ces modèles de baïonnettes se rencontrent que très rarement, comme pour les fourreaux français, iraniens, suisses, munis d’un pontet, ils sont dotés d’une lanière de maintien avec boucle métallique de verrouillage.

Période d’utilisation :
Elles furent les seules baïonnettes de la série à être utilisées lors de la Guerre Russo-Japonaise de 1904-1905 et lors des deux conflits mondiaux de 1914-1918 et de 1931-1945.

Le 12/08/25

Baïonnette M-1897 type 30, à crochet

août 8th, 2025

Longueur : 510 mm +/- 5
Poids : 485 g
ø interne de la douille : 14 mm

Armement : fusil Shanxi 6-5

Valeur : €€€ €€
Rareté : che1valierche1valierche1valierche1valierche1valier

Cette baïonnette produite à partir de 1897 jusqu’en 1937 a été remise à neuf entre 1929 et 1934 à l’Arsenal du Shanxi, en Chine. Ces baïonnettes, uniquement avec crochets ont été utilisées avec le fusil d’infanterie Shanxi 6-5, une copie fidèle du fusil japonais Arisaka type 38. Environ 100 000 fusils d’infanterie du Shanxi ont été fabriqués, certains accompagnés de baïonnettes chinoises neuves sans marquage.

La poignée comme le reste de la baïonnette est entièrement bronzée, les plaquettes neuves en bois exotique sont maintenues entre elles par boulons à tête arrondie et écrous.

Nagoya Rikugun Zoheisho Arsenal

Créé en 1923, l’Arsenal de Nagoya s’est occupé de la recherche, du développement et de la production de nombreuses nouvelles armes au cours des années 1920 et 1930 et a été, avec Kokura Arsenal, l’un des principaux fournisseurs d’armes légères de l’armée impériale japonaise pendant la Seconde Guerre sino-japonaise et la Seconde Guerre mondiale. L’arsenal se composait d’usines à Atsuta, Kōzō, Toriimatsu et Tachikawa et d’un bâtiment administratif à Takarai (aujourd’hui Kasugai).

Après la défaite du Japon et l’occupation américaine en 1945, l’Arsenal de Nagoya fut fermé. Aujourd’hui, le centre commercial ÆON Mall Atsuta occupe l’ancien Arsenal de Kōzō, tandis que le gymnase municipal de Nagoya et le parc Jingu Higashi occupent l’ancien Arsenal d’Atsuta.

Avis personnel sur l’attrait de ce modèle :
Cette variante peu courante, a la particularité d’être généralement en très bon état.

Le 09/08/25

Ethiopie

juillet 12th, 2025

 

Ci-dessous, une partie des baïonnettes utilisées par l’Ethiopie après la Seconde Guerre mondiale, pour y accéder il suffit de cliquer sur le lien.

Baïonnette P-1907

 

 

 

Autriche-Hongrie avant 1918

mai 5th, 2025

L’Autriche-Hongrie, couramment mais improprement appelée « Empire austro-hongrois », son nom exact étant « Double monarchie austro-hongroise », est, de 1867 jusqu’en 1918, un état d’Europe centrale, constitué de l’Empire d’Autriche et du Royaume de Hongrie, unis par la maison de Habsbourg-Lorraine et liés par un « compromis austro-hongrois ». Les territoires régis au sein de cette structure étatique comprennent trois entités :

La Première Guerre mondiale

Le 28 juillet 1914, l’Autriche-Hongrie déclare officiellement la guerre au Royaume de Serbie, ce qui, par le jeu des alliances, plonge toute l’Europe dans le « troisième chapitre des guerres balkaniques ». Soutenue par le Reich, la « monarchie danubienne » est rapidement placée sous une tutelle allemande de plus en plus forte au fil de la guerre, privant la double monarchie de toute possibilité de sortie du conflit sans l’aval du Reich.

Ci-dessous, une partie des baïonnettes utilisées par l’Empire austro-hongrois.

Baïonnette (Ersatz) pour modèle 1895

Baïonnette (Ersatz) pour modèle 1888

Baïonnette (Ersatz) pour armement Werndl

Baïonnette modèle 1912 (court)

Baïonnette modèle 1895 (standard)

Baïonnette modèle 1895 de cavalerie

Baïonnette modèle 1895 (NCO)

Baïonnette modèle 1895 de cavalerie (NCO)

Baïonnette modèle 1895 (fabrication allemande)

Baïonnette modèle 1886

 

L’empire d’Autriche (en allemand : Kaisertum Österreich) est le nom officiel porté par l’ensemble des territoires sous domination autrichienne de 1804 à 1867.

Ci-dessous, une partie des baïonnettes utilisées durant cette période.

Baïonnette modèle 1854

Baïonnette modèle 1884-98 (sans aucun marquage)

mai 5th, 2025

Longueur : 385 mm
Armement : fusil Mauser 98K

Valeur : €€€  
Rareté :  che1valierche1valierche1valierche1valierche1valier

Cette baïonnette commerciale ne possède aucun poinçon du Waffenamt, ni numéro de série, ni de date. Seul le fourreau, à son extrémité est doté d’un poinçon du Waffenamt.

La lame de cette variante, non polie a probablement été fabriquée durant les années 1944 ou 45, sa finition est assez sommaire.

Avis personnel sur l’attrait de ce modèle :
Cette variante peu courante a la particularité d’avoir une lame avec un usinage assez sommaire, rarement rencontré.

Le 05/05/25

Baïonnette modèle 1884-98 utilisée par la police

mai 4th, 2025

Longueur : 385 mm
Armement : fusil Mauser 98K

Valeur : €€€ €€  
Rareté :  che1valierche1valierche1valierche1valierche1valierche1valier

Cette baïonnette fabriquée par Alex Coppel, à Solingen dans le cadre d’un contrat commercial avec la police. Ce marquage a été utilisé jusqu’en 1938, avant d’être remplacé par le marquage AWS, elle ne comporte aucun poinçon du Waffenamt, ni numéro de série, ni de date, sur la baïonnette ainsi que sur le fourreau.

Pour l’anecdote, Alex Coppel de confession juive fut déporté à Düsseldorf, le 21 juillet 1942 avec d’autres Juifs de Solingen vers le ghetto de Theresienstadt, où il mourut trois semaines plus tard à l’âge de 76 ans.

Poinçon d’acceptation de la policeAlex Coppel, Solingen

Avis personnel sur l’attrait de ce modèle :
Pour les fervents passionnés d’histoire de la Seconde Guerre mondiale, cette variante peu courante, est indispensable dans une collection.

Le 04/05/25