La RFA et L’OTAN
Dès 1950, les Américains veulent que la RFA contribue à sa propre défense et donc rejoigne l’Alliance. La France continue de craindre la résurgence d’un état allemand fort qui dominerait l’Europe, et s’oppose donc au réarmement allemand. Face à l’insistance américaine et aux impératifs économiques et financiers, la France prend l’initiative de créer une Communauté européenne de défense, la CED, dont la RFA serait membre, dans un cadre lui offrant plus de garanties. Un accord est trouvé après plus de deux années de négociations, mais le parlement français rejette finalement la CED en . Dès lors, l’adhésion de la RFA à l’Alliance, devenue inévitable, se concrétise en . Elle s’assortit d’un plan de réarmement visant à constituer en quelques années une armée, la Bundeswehr, forte de 495 000 hommes, devenue dans les années suivantes la composante la plus importante des forces conventionnelles de l’OTAN sur le front d’Europe centrale, en réaction immédiate, l’Union soviétique forme le pacte de Varsovie, alliance avec sept états satellites.
Ci-dessous, une partie des baïonnettes utilisées après 1945 par la RFA, pour y accéder il suffit de cliquer sur le lien.
Autres
Poignard de combat M-68 (comparatif reproduction)
Historique de la société Eickhorn Solingen AES :
L’entreprise (AES) A. Eickhorn GmbH & Co. a été fondée en 1976 par Annette Eickhorn et elle était dirigée par Jörg Eickhorn. Cette entreprise a développé sa propre marque, trois hexagones contenant les lettres «A», «E» et «S.». AES a produit des baïonnettes G3 pour la Bundeswehr et pour l’exportation, des copies de la baïonnette FAL de type C, et des copies de la baïonnette américaine M7 qui comportaient une poignée monobloc. AES a également produit de nombreuses variantes du modèle KCB-77.
Ci-dessous, une partie des baïonnettes fabriquées par (AES).
Baïonnette expérimentale pour armement SIG SG 540 (variante)
Baïonnette KCB 77-M1 (sans dispositif coupe-fil)
Baïonnette KCB 77- M1 (sans garde)
Baïonnette KCB 77-M1 (avec garde)
Baïonnette modèle G3 (Danemark)
Baïonnette modèle G3 (Norvège)
Ci-dessous, une partie des baïonnettes fabriquées par la Waffenfabrik AG Carl Eickhorn qui a fait faillite en 1976. Cette usine fabriquait des baïonnettes pour l’exportation dans les années 70, pour les pays de l’OTAN.
Baïonnette modèle G3 (Danemark)
Ci-dessous, ces très rares baïonnettes ont été produites par la société Hörster E. & F. Co., Solingen en Allemagne de l’Ouest, dans les années 50.
Couteau-baïonnette US M4 (contrat grec)
juin 8th, 2015
Longueur : 300 mm
ø interne de la douille : 14,75 mm
Poids : 270 g
Armement : carabine M1
Valeur : €€€
Rareté :
Ces rares baïonnettes ont été fournies à la Grèce dans les années 50 pour être utilisées avec les carabine US M1, leur origine reste actuellement un mystère.
La poignée assez frêle est constituée de rondelles empilées en cuir marron. La croisière est bloquée mécaniquement contre la lame grâce à l’empilements des rondelles elles-mêmes bloquées avec le pommeau.
Constituée de la même manière que la poignée du modèle US M4, avec le temps lorsque les rondelles en cuir s’assèchent, la croisière à tendance à prendre du jeu.
Marquage à gauche en partie effacé EME = Epsilon MU Epsilon
La lame de très bonne qualité est de type US M4, comme pour les pièces de 1, 2, 5 centimes d’Euro, elle est recouverte d’une fine couche de cuivre de protection contre la corrosion, puis ensuite laquée.
Le fourreau de cet exemplaire dont le corps est en matière plastique semble avoir été remis à neuf par les autorités militaires grecs, cependant la majorité de ces baïonnettes sont logées dans des fourreaux de provenance US. Voir histoire des (fourreaux US M8/M8A1).
Avis personnel sur l’attrait de ce modèle :
Ce modèle a bien été utilisé par l’armée grecque, il n’a pas le prestige de son cousin américain, mais beaucoup moins coûteux à l’achat, il a sa place dans une collection.
Le 25/04/21.
Couteau multifonctions
mai 28th, 2015
Longueur : 140 mm
Valeur : €
Rareté :
Ce petit couteau multifonctions a été produit par plusieurs fabricants : MIL-TEC, VICTORINOX, I.C.A.R. ROSTFREI, il a été délivré aux Forces armées allemandes (Bundeswehr) à partir de 1985.
Le 20/08/21.
Empire allemand
mai 20th, 2015
l’Empire allemand était une confédération d’Etats semi-indépendants. Le roi de Prusse (capitale Berlin, population en 1910, 40 165 219 habitants) a servi en tant que chef de l’Etat impérial et a reçu le titre Kaiser (empereur).
Les monarques des trois autres Etats allemands (Royaume de Bavière, capitale Munich, habitants 6 887 291), (de Saxe, capitale Dresde, habitants 4 806 661), (du Wurtemberg, capitale Stuttgart, habitants 2 437 574), ont tenu le titre König (King).
La Première Guerre mondiale
L’Empire austro-hongrois déclare la guerre à la Serbie le (28 juillet 1914). La Russie déclare la guerre à l’Autriche-Hongrie quelques jours après. L’Allemagne déclare la guerre à la Russie (3 août 1914) et la France se prépare à déclarer la guerre à l’Allemagne pour aider ses alliés russes, mais c’est l‘Allemagne qui la lui déclare avant et envahit la Belgique. Le Royaume-Uni déclare la guerre à l’Allemagne pour aider ses alliés belges (4 août 1914).
Ci-dessous, une partie des baïonnettes utilisées durant la Première Guerre mondiale, pour y accéder il suffit de cliquer sur le lien.
Baïonnette modèle 1884-98 (2ème type)
Baïonnette Ersatz à poignée lisse
Baïonnette Ersatz à poignée lisse, sans anneau
Baïonnette Ersatz à poignée moulée
Baïonnette modèle 1914 (Bayard)
Baïonnette modèle 1884-98 (1er type à gouttière courte)
Baïonnette modèle 98-05 (tous types)
Baïonnette modèle 98 (premier et second type)
Autres
Baïonnette modèle 1871-84 de fabrication privée
Baïonnette modèle 1888 (export Siam)
Baïonnette modèle 1874 de prise et modifiée
Baïonnette modèle 1866 de prise
Ci-dessous une partie des porte-fourreaux utilisés de 1870 à 1918.
Les porte fourreaux allemands (WW1)
Le royaume de Prusse est un état européen formé en 1701 et intégré en 1871 à l’Empire allemand, dont il est la composante principale, il disparaît en 1918 lorsque l’Allemagne devient une république.
Ci-dessous, une partie des baïonnettes utilisées avant 1871.
Baïonnette Hirschfänger modèle 1865 de chasseur
Baïonnette modèle 1862 (Dreyse)
Le Royaume de Bavière est un ancien royaume germanique fondé le 26 décembre 1806 et qui survivra jusqu’au 7 novembre 1918. C’était à l’origine un monarchie constitutionnelle créée par un traité entre l’Empereur Français Napoléon Ier et l’Empereur d’Autriche François Ier, c’est ensuite devenu un état de l’Empire allemand à partir de 1871.
Ci-dessous, une partie des baïonnettes utilisées avant 1871.
Poignard de commando
mai 18th, 2015
Longueur : 250 mm
Valeur : €€€ €
Rareté :
Ce rare et réglementaire poignard bien peu fonctionnel de « commando » a été fabriqué à la FN de Toledo dans les années 1960 à 1970.
La poignée non ergonomique, comme la baïonnette-machette modèle 1941 est munie de plaquettes en bois quadrillé soigneusement coupées maintenues entre elles par vis et écrous. La garde porte un n° de série.
La lame de type bolo, avec dents de scie, est totalement inefficace en cas d’utilisation comme outil coupant ou comme poignard de combat.
Le fourreau est en cuir avec extrémité métallique, le maintien indispensable du poignard démuni de cuvette d’entrée est assuré à l’aide d’une sangle.
Avis personnel sur l’attrait de ce modèle :
Ce poignard n’est pas une réussite au niveau de sa conception, pourtant il est assez recherché parmi les collectionneurs, même, comme le mentionnent certaines annonces erronées n’a jamais fait partie de la jeunesse ……..).
Le 12/02/21.
Couteau-baïonnette de parade avec poignée de type KS 98
mai 10th, 2015
Longueur : 318 mm + ou –
Longueur de la lame : 195 mm + ou –
Valeur : €€€ €
Rareté :
Après avoir pris de l’ampleur dans la République de Weimar après la Première Guerre mondiale, le port de couteaux-baïonnettes habillés a connu une croissance explosive parmi les soldats entre 1933 et 1945, lorsque le régime ultra militariste du Troisième Reich d’Hitler est arrivé au pouvoir.
Ces couteaux-baïonnettes achetés en privé n’étaient pas destinés à être utilisés au combat. L’organisation nazie adorait les uniformes et les parades, de nombreux allemands avaient un attrait pour les armes blanches, celles-ci apportaient une contribution cérémonielle naturelle à leurs uniformes. Le couteau-baïonnette de parade était généralement fabriqué avec une lame brillante et polie et une poignée nickelée, avec une poignée en Bakélite moulée noir.
Après 1927, le contrôle de la commission était devenu pratiquement inexistant, toutes les couteaux-baïonnettes de ce type avaient des rainures aux pommeaux et des boutons poussoirs amovibles. Ils pouvaient s’adapter au canon des fusils de type 98 démunis de baguettes de nettoyage, en effet la constitution spécifique de la poignée ne pouvait pas intégrer une baguette.
Il existe une multitude de variantes de ce modèle, cet article n’est qu’une ébauche sur sa description.
Photo prise sur internet
Pour exemple
Pour simplifier la fabrication de ces modèles, la poignée complète (pommeau, soie, croisière) en alliage d’aluminium est moulée. La lame en acier, fabriquée indépendamment est ensuite fixée à celle-ci par un rivet. Ce mode de constitution simplifié présente une faiblesse, risque de jeu au niveau de la lame et de la croisière.
La poignée de type KS 98 de ces modèles, suite à la convention d’Armistice, devait être dépourvue du système de fixation au fusil. Elle est constituée d’un alliage d’aluminium moulé qui est généralement recouvert de chrome. Le pommeau en forme de tête d’aigle est muni d’un bouton-poussoir amovible (oeil). Il comporte une mince rainure en forme de trèfle généralement obturée par un morceau de feutre coloré comme ornement supplémentaire. La garde est courbée, sa forme et son épaisseur suivant le constructeur peut légèrement variées. Les plaquettes en Bakélite assez fragiles, finement quadrillées sont maintenues entre elles par petits rivets.
Lame à simple tranchant et contre-tranchant affûté sur environ 50 mm comporte une fine gouttière, du même type que les modèles conçus durant la république de Weimar.
Lame à usinage simplifié à simple tranchant parfaitement affûté.
De 1914 à 1939, cette entreprise est dirigée par Julius Küller. À l’époque du Troisième Reich, Höller était un important fabricant spécialisé dans une large gamme d’armes blanches
La lame avec gouttière sur chaque face dont le profil peut varié, est de finition chromée. Généralement, une petite lanière en cuir près de la croisière de la baïonnette fait office de tampon amortisseur. Le non ou le marquage du constructeur est inscrit sur le côté droit.
Le fourreau propre à chaque variante, de finition chromée ou recouvert de peinture de couleur noire brillante, mesure environ 225 mm, la cuvette/ressort dont la forme peut varier suivant le constructeur est maintenue sur le corps par une vis sur le devant, le bouton de suspension comporte quatre stries.
Le porte-fourreau généralement utilisé avec ces modèles est en feutrine recouvert de simili-cuir de différentes couleurs.
Remarques personnelles :
Il existe une multitude de variantes, privilégiez si possible les lames dont le nom du constructeur apparait, en ce qui concerne le jeu de la lame dû au mode de construction, il y a malheureusement rien à faire.
Le 14/10/24.
Glaive modèle 1831 des troupes à pied
mai 5th, 2015
Longueur : 640 mm
Poids : 1020 gr
Armement : arme de côté
Valeur : €€€ €€€ €
Rareté :
Le 12 mai 1831, le comité d’infanterie annonce l’adoption d’un nouveau modèle de glaive, destiné à compenser la relative fragilité du modèle 1816 dont la lame était à pans creux. Avant l’adoption de cette arme, des essais assez sévères furent réalisés. Le cahiers des charges de l’époque exigeait, que le glaive puisse frapper 4 000 coups sur des bûches en moins de 8 heures sans que la lame soit dégradée en ne présentant aucun jeu dans la poignée.
Ce glaive équipa entre autres les soldats de l’infanterie, ainsi que ceux de la légion étrangère jusque dans les années 1870. Il était utilisé comme outil tranchant en campagne, il pouvait aussi faire office de hache de campement, et de serpe pour couper le fourrage des chevaux.
A partir de 1866, l’armée adopte le nouveau fusil Chassepot avec son sabre-baïonnette, il mettra un terme définitif à sa distribution.
Il fut produit jusqu’en 1861 à environ 108 000 exemplaires par la Manufacture d’armes de Châtellerault principalement, mais aussi par des firmes privées comme Talabot ou Pihet pour la Garde Nationale.
Certains exemplaires marqués « La Loi » étaient destinés à des unités de Police, provenant de chez Pihet. Un modèle 1842/52 suisse de pionnier à lame munie de dents de scie existe également, à ne surtout pas confondre.
La poignée de style Roman, d’une seule pièce en laiton nervurée et pommeau rond comporte 26 cannelures. Elle recouvre en totalité la soie, sa fixation est effectuée par matage, aucun rivet ne traverse la poignée. La croisière droite symétrique est terminée par deux « quillons » à rouleaux.
La lame à double tranchant, assez souple est parfaitement symétrique, la partie la plus épaisse se situe sur l’axe central, elle forme une arête qui lui donne une section en forme de losange.
Le fourreau en cuir noirci, comporte une cuvette en laiton munie de deux lames ressort, elle est fixée par deux agrafes, la garniture à l’extrémité est simplement emboutie.
Le 29/01/25.
Irlande (république)
mai 5th, 2015
L’Irlande indépendante depuis le 06 décembre 1921, parfois appelée République d’Irlande, est un pays, membre de l’Union européenne depuis 1973. L’Irlande est en très grande majorité Catholique et ce depuis son évangélisation aux alentours du 5e siècle. Lorsque Henry VIII s’est proclamé Roi d’Irlande, il a apporté avec lui le Protestantisme, mais le changement ne s’est pas imposé partout. Les comtés d’Irlande du Nord, restés fidèles au Royaume Uni sont en majorité Protestants ou Anglicans. L’Irlande du Sud est restée Catholique.
L’Irlande resta neutre durant la Seconde Guerre mondiale, interdisant même officiellement au Royaume-Uni l’usage militaire de ses ports et aéroports.
Ci-dessous, une partie des baïonnettes utilisées par ce pays, pour y accéder il suffit de cliquer sur le lien.
Taïwan
avril 8th, 2015
La république de Chine occupait le siège de la Chine à l’ONU jusqu’en 1971, date à laquelle la république populaire de Chine la remplaça. La république de Chine et la république populaire de Chine revendiquent chacune la pleine et légitime souveraineté sur la totalité du territoire chinois (Chine continentale et île de Taïwan). Dans les faits, Taïwan a une indépendance administrative et politique par rapport au continent, mais son indépendance n’a jamais été proclamée ni par le gouvernement de l’île, ni par celui du continent. Elle est donc considérée par l’ONU comme une province de la république populaire de Chine, et par le gouvernement de Taïwan comme une province de la république de Chine, selon les dispositions de sa Constitution d’avant 1949.
Ci-dessous, une partie des baïonnettes utilisée par ce pays, pour y accéder il suffit de cliquer sur le lien.
Dague d’officier modèle 1943
avril 7th, 2015
Longueur : 350 mm
Armement : arme de côté
Valeur : €€€ €€€
Rareté :
La dague modèle 43, à partir du 1er janvier 1944 a remplacé les encombrants sabres et les épées. Elle était seulement remise à l’occasion d’une promotion auprès des officiers et sous-officiers supérieurs de l’armée suisse et ne pouvait être achetée dans le commerce.
Les lames des dagues étaient fabriquées par Elsener Schwyz et très rarement par SIG Neuhausen (marque N sous un fusil symbolisé) de 1944 jusqu’à 1953, et ensuite par Elsener Schwyz (portant la mention « Elsener Schwyz Victoria ». Lorsque la production a cessé pour l’armée en 1991, le numéro de série le plus élevé était 397 126. Malheureusement, pour les militaires suisses, le remplacement à partir de juillet 1995 de la tenue de sortie M-1972 par une nouvelle tenue s’accompagnera de l’abandon du poignard.
Les dagues M-43 ont également été utilisées comme poignards d’officiers par divers corps de police. La société « Elsener Schwyz » marquage « Victorinox« , a livré 1 527 dagues non numérotées en 1991.
La poignée est dotée de plaquettes en bois maintenues entre elles par trois vis à têtes rondes et écrous fendus. Les deux flasques latérales en métal chromé qui renforcent la poignée sur les côtés viennent s’insérer en force dans le pommeau de forme arrondie, lui-même fixé sur la soie par un écrou à trois trous noyé.
Marquage courant d’un des deux constructeurs
La lame symétrique à double tranchant, est chromée comme le reste des autres parties métalliques de la dague, y compris les vis et écrous.
Le fourreau en acier laqué noir, comporte une cuvette avec ressorts chromée fixée par une vis située sur l’arrière du corps. Une lanière en cuir avec un mousqueton pour l’accrocher à une ceinture d’officier blanche spéciale, est fixée sur le pontet par un rivet. Les fourreaux marqués d’un « S » , sur l’arrière ont été fabriquées par la « Basler Eisenmöbelfabrik AG » à Sissach. Cette société a fourni des fourreaux à Elsener jusqu’en 1985 environ. C’est à partir de ce moment que BAG Turgi a pris le relai pour la fabrication des fourreaux.
Dragonne d’officier
La dragonne, enroulée autour de la garde, de façon que le gland pende du côté gauche de cette dernière, est composée d’une tresse rouge se terminant par un gland rouge strié de blanc pour les sous-officiers. Pour les officiers elle se compose d’une lanière plate rouge striée de blanc et se termine par une gland de couleur blanche surmonté d’un coulisseau, blanc également. Les fils des bandes d’officiers blancs ont été fabriqués jusqu’en 1959 environ avec du fil d’argent.
Période d’utilisation:
Cette arme de côté a été produite de 1944 à 1991.
Avis personnel sur l’attrait de ce modèle :
Ces modèles sont très intéressants car ils ont tous leur petite histoire, imaginez la satisfaction personnelle de tous les militaires qui les ont reçu au moment de leur promotion, les numérotations les plus basses sont les plus recherchées.
Le 25/10/21.